La forêt se meure, les âmes tombent,
Les bûcherons aigrefins piétinent les vies,
Les feuilles d’or se recyclent
Et de nouveaux arbres pleins de paix brilleront sur le monde.
Alors comment « écouter la forêt qui pousse plutôt que l’arbre qui tombe ».
Les colombes crient famine,
La terre est philistine,
Perfide comme les faux espoirs
De la grande poire.
Le vent se glisse dans l’interstice,
Le déluge votre maléfice
Et le souffle de la révolte à vos portes,
Les idées neuves se colportent
Signé le reflet de la forêt.